Comment choisir un photographe culinaire ?
Trouver le bon photographe culinaire peut sembler simple au premier abord. Mais en réalité, le choix du professionnel qui mettra en valeur vos plats ou vos produits est crucial pour votre communication.
Aujourd’hui, il existe une multitude d’acteurs dans la création de contenus food : photographes, vidéastes, créateurs de contenus, influenceurs… Le choix peut vite devenir compliqué et il est parfois difficile de savoir qui sera le plus adapté à vos besoins.
Que vous soyez restaurant, artisan, traiteur ou marque agroalimentaire, les photos que vous diffusez influencent directement l’appétit… et la confiance de vos clients !
Dans cet article, je vous explique les points essentiels à prendre en compte pour bien choisir votre photographe culinaire.
1. Vérifier le style du photographe culinaire
Chaque photographe culinaire a son univers. Certains privilégient une approche minimaliste, d’autres un rendu très coloré, d’autres encore une ambiance sombre et dramatique.
👉 Avant de choisir, demandez-vous : Quel est le style qui correspond à mon identité de marque ?
Regardez le portfolio en ligne du photographe pour voir si son style s’accorde avec votre univers.
2. Évaluer la maîtrise technique
Dans tous le cas, fiez vous au portfolio du photographe et vous n’avez pas à savoir son équipement ou sa méthode de travail précise. Ce que vous voulez, c’est un résultat après tout.
Un bon photographe culinaire doit savoir :
Jouer avec la lumière (naturelle ou artificielle) pour mettre en valeur textures et couleurs.
Composer une image qui donne envie, avec un sens du détail et du cadrage.
Maîtriser la post-production pour livrer des visuels optimisés (netteté, couleurs fidèles, fichiers adaptés aux réseaux sociaux et au print).
👉 Un savoir-faire particulier avec le flash peut aussi être un vrai atout. Dans certains restaurants où l’éclairage n’est pas optimal ou dans les cuisines souvent sombres, le flash permet d’obtenir des images nettes et professionnelles. Il est également idéal pour figer le mouvement, par exemple un geste de chef, une sauce qui coule ou une flamme qui s’élève.
À Lyon, où la scène gastronomique est très riche, un photographe culinaire doit aussi savoir travailler avec des produits variés : cuisine traditionnelle, gastronomique, street food, mais aussi produits bruts pour les marques.
3. Considérer l’expérience et la spécialisation
Tous les photographes ne sont pas spécialistes de la cuisine.
Un photographe généraliste pourra faire de belles images, mais il y a de bonnes chances qu’il doive improviser et que le rendu final soit moins convaincant, surtout pour des plats complexes ou des mises en scène spécifiques.
Il est donc préférable de privilégier un photographe culinaire spécialisé. Ces professionnels connaissent les codes visuels de la gastronomie, les tendances food actuelles et savent collaborer efficacement avec des chefs, des stylistes culinaires ou des marques agroalimentaires.
Cette spécialisation garantit un résultat professionnel, cohérent avec votre identité et adapté à vos supports de communication.
4. Penser à l’adaptation au digital
Aujourd’hui, vos photos ne se retrouvent pas seulement sur vos menus ou affiches. Elles vivent surtout sur :
Instagram et TikTok : formats carrés, verticaux, animés.
Sites internet : bannières, pages e-commerce, galeries.
Google My Business : photos d’ambiance et de plats pour attirer les clients locaux.
Un bon photographe culinaire doit donc vous livrer des visuels adaptés à ces différents usages, il est au courant des différents formats et saura s’y adapter
5. Le budget : un investissement, pas une dépense
Les tarifs varient selon l’expérience du photographe (entre 300 et 1000 euros par jour), le temps de préparation, le besoin ou non en stylisme culinaire et le nombre d’images livrées.
Plutôt que de comparer uniquement les prix, demandez-vous :
Quelle valeur ces images vont apporter à ma communication ?
Est-ce que je pourrai les utiliser sur plusieurs supports (site, réseaux, publicité) ?
Quelle impression donneront elles à mes futurs clients ?
💡 Exemple concret pour un restaurant :
Ticket moyen : 25 €
Nombre moyen de réservations mensuelles : 300
Shooting photo professionnel : 600 €
Si un shooting attire ne serait-ce que 10 réservations supplémentaires, cela représente :
10 × 25 € = 250 € de chiffre d’affaires supplémentaire dès le premier mois.
En seulement 3 mois, le retour sur investissement est déjà supérieur au coût du shooting !
Bien sûr cela demande un effort constant et une régularité dans la communication, le photographe peut t’aider là dessus justement
À Lyon, la concurrence est forte dans la restauration et l’agroalimentaire. De belles images professionnelles peuvent faire toute la différence.
6. La relation humaine
Choisir un photographe culinaire, ce n’est pas seulement une question de technique. C’est aussi une collaboration.
Un bon professionnel saura :
Écouter vos besoins.
Vous conseiller sur la mise en scène, le stylisme et les formats.
Apporter une touche créative et unique, tout en respectant votre identité
Conclusion
Choisir un photographe culinaire à Lyon est une étape stratégique pour mettre en avant vos plats et vos produits. Style, maîtrise technique, spécialisation, adaptation au digital, budget et relation de confiance : tous ces éléments doivent être pris en compte.
En tant que photographe culinaire basé à Lyon, mon objectif est d’aider les restaurants et les marques agroalimentaires à communiquer avec des visuels gourmands, colorés et dynamiques. Si vous souhaitez discuter de votre projet, n’hésitez pas à me contacter.
Sur des plateformes de livraison comme Deliveroo et Uber Eats, l’ajout d’images de plats augmente les conversions de 6,5 %
Les menus visuels (intégrés à un site ou une app) génèrent jusqu’à 25 % de conversions supplémentaires
En clair : chaque photo de qualité est une occasion de vendre davantage de plats ou de générer plus de réservations.